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        La première Biennale environnementale et sociale gratuite et en 
        plein air se tient pendant un mois au cœur de Paris et de son agglomération. 
        Elle est produite par l'association Letourdunmonde, et a pour 
        but de donner de la visibilité à des ONG et Fondations à 
        travers l’art photographique, afin de rendre compte de leurs actions 
        au quotidien, de valoriser leur travail, mais aussi celui des personnes 
        qui s'engagent auprès d'elles. À travers un parcours d’expositions 
        artistiques, événements et rencontres, la biennale a pour 
        objectif de sensibiliser tous les publics aux enjeux sociaux et environnementaux 
        - jeune public, grand public, acteurs et leaders de l'écologie, 
        entreprises, pouvoirs publics -, de les réunir autour d'une manifestation 
        artistique et culturelle, de nourrir les consciences, d'éveiller 
        leur responsabilité sociétale, et de les inciter à 
        s’engager. 
       
        
          
           
            | Présentation | 
              | 
           
           
              
                L’art 
                  et la culture sont utilisés comme médiateurs dans 
                  cette manifestation unique, réunissant artistes et ONG 
                  autour de l’engagement citoyen. Des parcours pédagogiques 
                  sont également mis en place pour toucher le jeune public, 
                  acteur du changement de demain. L’art est décentralisé 
                  et accessible à tous grâce à un format en 
                  extérieur, mixant œuvres contemporaines et photographies 
                  de reportage, dans d’immenses scénographies. 
                 
                  Les grandes thématiques 2023 
                La 
                  biennale sera départagée en trois grands thèmes 
                  : 
               
              
                -  
                  
Le 
                    pôle Conflit, Climat, Résilience s’articule 
                    autour des grandes ONG gestionnaires de crises humanitaires. 
                    L’objectif est de montrer les liens indissociables des 
                    problématiques sociales et environnementales dans notre 
                    monde actuel. Les populations sont de plus en plus impactées 
                    par les conséquences du changement climatique, ce qui 
                    entraîne conflits, résilience et nouvelles utilisations 
                    des ressources. La question des déchets est aussi largement 
                    abordée, montrant l’absurdité de nos systèmes 
                    actuels. 
                 
                -  
                  
Photoclimat 
                    présente une grande thématique Femmes, 
                    qui aborde les questions de l’éducation et de 
                    l’intégration sociale, de l’environnement 
                    et du climat, de la formation et de l’insertion professionnelle, 
                    du droit des femmes et de la lutte contre les violences conjugales. 
                    Pour la première fois, Photoclimat et la Fondation 
                    RAJA-Danièle Marcovici présente un projet de 
                    résidences pour 4 artistes femmes : Floriane de Lassée, 
                    Camille Gharbi, Sandra Reinflet et Elene Usdin. Aux côtés 
                    de la restitution de ces résidences, l’exposition 
                    centrale de NewshaTavakolian, artiste iranienne, illustre 
                    les expériences sociales et la vie sous sanction dans 
                    les pays instables, tandis que le travail de Laetitia Ky, 
                    jeune artiste ivoirienne, nous parle du féminisme de 
                    manière juste et sensible. 
                 
                -  
                  
Le 
                    pôle Biodiversité nous transporte entre 
                    humour, pédagogie et installations contemporaines. 
                    Il célèbre le lien entre les hommes et les animaux, 
                    tout en nous faisant prendre conscience de la fragilité 
                    de la nature. Ce pôle a pour objectif de sensibiliser 
                    le spectateur de plusieurs manières : s’interroger 
                    sur les animaux que nous mettons dans nos assiettes, montrer 
                    l’absurde déconnexion de l’Homme quant 
                    à son habitat naturel, mais aussi penser la nature 
                    comme espace artistique, où l’oeuvre d’art 
                    a sa propre vie. Le déploiement d’un pôle 
                    Océan permet d'émerveiller le public face aux 
                    richesses sous-marines, tout en soulignant l’urgence 
                    de les protéger. 
                 
               
               
                Carte 
                  du parcours de Paris-Centre : 
                  Parcours 
                  Conflit, climat, résilience 
                  Parcours 
                  Femmes, les quatre maisons idéales 
                  Parcours Biodiversité 
                L’association 
                  Letourdunmonde 
                Elle 
                  a pour but d’élaborer, de produire et de présenter 
                  des projets artistiques engagés, dont la biennale Photoclimat, 
                  crée des liens entre l’art, la sphère associative 
                  et les experts, en questionnant les grands enjeux sociétaux 
                  à travers la création. Elle mène des actions 
                  en direction du grand public, en décentralisant l’art 
                  des espaces culturels traditionnels, le rendant ainsi accessible 
                  à tous. 
                L’édito 
                  de Nicolas Henry 
                Femmes, 
                  Biodiversité, ONG, Conflits, Climat, Résilience, 
                  Recyclage… sont de nouveaux chapitres de Photoclimat. 
                  Nous avons pu produire et accompagner à travers prix 
                  et résidences, une douzaine de projets d’artistes 
                  femmes, poursuivre des programmes à l’année 
                  avec l’Académie du Climat, finaliser notre tour 
                  de France des ONG et vous préparer des scénographies 
                  éco-concues et majestueuses au coeur de Paris. 
                  Sécheresses, 
                  exodes, bouleversements climatiques, se succèdent… 
                  Mais aux quatre coins du globe, les initiatives fleurissent 
                  et portent les preuves de leur efficience. Une quarantaine d’associations 
                  sociales etenvironnementales nous accompagnent pour nous éclairer 
                  les chemins de traverse. 
                  Il 
                  nous faut renouer avec le bonheur de voir s’épanouir 
                  sous nos yeux le génie et la créativité 
                  humaine, renouer avec l’émotion face au vivant 
                  et à la nature et construire un nouveau monde impertinent 
                  et juste.  
                Nicolas 
                  Henry 
                | 
                 
                   
                   | 
              | 
           
           
            | Parcours 
              central : place du Palais Royal, pôle Conflit, Climat, 
              Résilience | 
              | 
           
           
            |   Richard 
                Mosse x Human Rights Wash 
              Heat 
                maps, Infra, Broken spectre 
                
                © 
                Richard Mosse  
              
  | 
            L’artiste 
                irlandais Richard Mosse, né en 1980, explore les possibilités 
                de la photographie documentaireentre l’enregistrement de 
                la réalité et l’art. Utilisant des caméras 
                à usage scientifique ou militaire, ildéveloppe les 
                thématiques des destructions naturelles, du climat et des 
                réfugiés. Alors que l’attention dela société 
                et des médias a tendance à s’émousser, 
                l’artiste s’efforce de maintenir « le caractère 
                brûlant deces récits urgents de déplacement 
                humain ». 
                En 2017, son installation vidéo Incoming a remporté 
                le Prix Pictet. 
                Human Rights Wash défend les droits humains à travers 
                le monde. L'ONG enquête sur les exactionspour les dénoncer 
                et fait pression sur ceux qui détiennent le pouvoir afin 
                que les droits soient respectés etque justice soit faite. 
                Lors de sa première édition en septembre 2021, la 
                Biennale Photoclimat s'estassociée à Human Rights 
                Watch afin de sensibiliser l'opinion publique internationale et 
                de faire connaîtreles artistes birmans, en créant 
                un réseau de soutien, suite au coup d'État des militaires 
                birmans etTatladaw en février 2021. 
                Dans un contexte de radicalisation politique et de basculement 
                des sociétés vers l’extrême droite, 
                Heat maps est un projet qui suit la crise migratoire 
                qui a éclaté en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. 
                Il offre des photos exceptionnelles grâce à l’utilisation 
                d’un appareil photo au téléobjectif à 
                systèmeinfrarouge de reconnaissance militaire qui peut 
                détecter la chaleur corporelle. 
                Infra utilise le même système de la pellicule 
                Kodak afin de documenter le conflit qui se déroule enRépublique 
                Démocratique du Congo. 
                Broken spectre, film de 74 minutes, est un message fort 
                sur le sujet de la destruction de la forêtamazonienne qui 
                a lieu aujourd'hui. 
               | 
              | 
           
           
            |   Nicolas 
                Henry x SOS Sahel 
              Arbres 
                de vie 
                 
                L'art de l'artiste français polyvalent Nicolas Henry, né 
                en 1978, est à la limite entre le portrait, lethéâtre 
                et l’installation et a été exposé dans 
                le monde entier grâce à des travaux mixant écriture, 
                photographie et sculpture. Son livre sur les communautés 
                Contes imaginaires autour du monde - World’s in the 
                making sort en 2016 aux Éditions Albin Michel et reçoit 
                le prix Méditerranée du livre d’art 2017. 
                SOS Sahel, depuis 45 ans, est engagée auprès des 
                populations sahéliennes pour vaincre la faim et la pauvreté, 
                et répondre ainsi aux nombreux autres défis d’une 
                région parmi les plus fragiles du monde. Du Sénégal 
                à Djibouti, SOS SAHEL co-développe des solutions 
                locales et durables afin de construire un Sahelvert et nourricier, 
                pierre indispensable à la stabilité et à 
                la prospérité de 300 millions d’habitants. 
                En s’appuyant sur le partenariat existant de Nexira et SOS 
                Sahel depuis 2010 avec le projet Acacia, Nicolas Henry met à 
                l’honneur les incroyables ressources naturelles du Tchad 
                et du Sénégal dans la série Arbres de 
                vie. Racontant une histoire autour du végétal, 
                il illustre les bienfaits pour nous humains, del’acacia, 
                produit iconique de Nexira, mais aussi des baobabs et dattiers 
                du désert. Ce récit lie lespopulations locales à 
                la nature à travers des fresques figuratives à la 
                frontière du land art, entre théâtre,glanages 
                et chemins transverses. Chacune des photographies de Nicolas Henry 
                apporte sa contribution àson engagement résolument 
                écologique et humaniste.   | 
             © 
                Nicolas Henry 
               | 
              | 
           
           
            |   Emily 
                Garthwaite x CCFD-Terre Solidaire 
              Portrait 
                intime du fleuve Tigre 
                
                © 
                Emily Garthwaite / Prix photo Terre Solidaire
  | 
            Emily 
                Garthwaite, née en 1993 en Grande Bretagne, vit en Irak. 
                Photojournaliste reconnue, ambassadrice Leica, elle se concentre 
                sur des sujets environnementaux et humanitaires. Son travail tisse 
                des liens entre les thèmes de l’humanité partagée, 
                du déplacement et de la coexistence avec le monde naturel. 
                Emily a parcouru plus de 1 500 km à pied en Irak, dont 
                trois fois le pèlerinage d’Arba’een dans le 
                sud du pays, ainsi qu’une randonnée de 231 km à 
                travers la région du Kurdistan, pour documenter le premier 
                sentier de randonnée longue distance de la région. 
                En 2020, elle a parcouru 200 km à pied dans les montagnes 
                de Zagros, en Iran, afin de documenter les coutumes nomades de 
                la tribu des Bakhtiari. Plus récemment, avec une équipe 
                d’écologistes irakiens et internationaux, elle a 
                participé à l’Expédition Dijlah : 1 
                900 km sur le Tigre, à travers la Turquie, la Syrie et 
                l’Irak, pour mettre en évidence les effets du changement 
                climatique. Elle expose son travail partout dans le monde et ses 
                photographies ont été publiées dans le New 
                York Times, GEO, Vanity Fair, Time, The Sunday Times Magazine. 
                Le travail d’Emily a été reconnu par Forbes 
                30 Under 30, Wildlife Photographer of the Year, le Covering Climate 
                Now. 
                Le CCFD-Terre Solidaire, première ONG de solidarité 
                internationale, agit aux côtés des populations les 
                plus vulnérables contre toutes les formes d’injustices, 
                et en premier lieu, celle de souffrir de la faim. Régler 
                le problème de la faim est un préalable à 
                la résolution de toutes les autres injustices, telles que 
                l’accès à l’éducation, à 
                la santé, la pauvreté… Loin des pratiques 
                d’assistance et d’urgence, l’action du CCFD 
                passe par le soutien à des associations partenaires locales, 
                car ce sont elles qui détiennent les solutions adaptées 
                aux réalités de leurs territoires. 
                Le récit de deux femmes photographes sur deux régions 
                du monde, deux fleuves, deux problématiques environnementales 
                et alimentaires : le fleuve Tigre en Irak et le fleuve Kosi en 
                Inde. Le CCFD-TerreSolidaire, en témoignant au plus proche 
                des populations, souhaite mettre en lumière leurs situations 
                sociales et leurs aspirations à un avenir meilleur.  | 
              | 
           
           
             
                Anush 
                  Babajanyan x CCFD-Terre 
                  Solidaire 
                Les 
                  oubliés du fleuve Kosi 
                   
                  La photographe arménienne Anush Babajanyan, née 
                  en 1983 à Erevan, est membre de l’agence VII Photo, 
                  et est National Geographic Explorer. Anush Babajanyan 
                  concentre son travail sur les récits sociaux et les histoires 
                  personnelles. En plus de son travail intensif dans le Caucase 
                  du Sud, elle continue dephotographier en Asie centrale et dans 
                  le monde entier. 
                  Le Prix photo Terre 
                  Solidaire, sous la présidence d’honneur 
                  de Sebastião Salgado, a été pensé 
                  comme la rencontre entre les causes portées par le CCFD-Terre 
                  Solidaire et le soutien au monde de la photographie. 
                  Est ainsi mise en avant une photographie engagée, témoin 
                  de l’état de notre planète et au plus proche 
                  des femmes et des hommes garants d’une terre solidaire. 
                  Photoclimat met à l’honneur deux des trois lauréats 
                  de cette première édition du prix. 
                  Le récit de deux femmes photographes sur deux régions 
                  du monde, deux fleuves, deux problématiques environnementales 
                  et alimentaires : le fleuve Tigres en Irak et le fleuve Kosi 
                  en Inde. Le CCFD-Terre Solidaire, en témoignant au plus 
                  proche des populations, souhaite mettre en lumière leurs 
                  situations sociales et leurs aspirations à un avenir 
                  meilleur. 
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                © 
                Anush Babajanyan / Prix photo Terre Solidaire 
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            Solidarités 
                International 
              Souffrances 
                climatiques 
               © 
                Oriane Zerah
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            Depuis 
                1980, l’ONG Solidarités International vient en aide 
                aux personnes frappées par les conflits et les violences, 
                les épidémies, les catastrophes naturelles et climatiques 
                et les effondrements économiques. Leurs équipes 
                humanitaires ont pour mission de secourir celles et ceux dont 
                la sécurité, lasanté et la vie sont menacées, 
                en couvrant leurs besoins essentiels : boire, manger et s’abriter. 
                L'exposition Souffrances 
                climatiques 
                met en lumière ce que le changement climatique 
                impose aux milliards d’hommes, de femmes et d’enfants 
                déjà touchés par des crises humanitaires, 
                qu'elles soient d’origines politiques, sociales ou économiques. 
                De la Syrie au Mali, du Myanmar au Liban, ces photos racontent 
                les souffrances climatiques : manque d’eau, vagues de chaleur, 
                tempêtes de poussières, sécheresses, inondations... 
                Ces événements s’ajoutent au quotidien des 
                personnes déjà obligées de se déplacer 
                à cause des conflits armés. Les agriculteurs peinent 
                alors à répondre aux besoins alimentaires entraînant 
                parfois des famines, les rivières s’assèchent 
                et l’insalubrité des eaux amplifie les maladies liées 
                à l’eau dont l'un des principaux fléaux est 
                le choléra. En 2022, pour l’ensemble de la planète, 
                les températures auront été supérieures 
                d'environ 1,15°C à la moyenne pré-industrielle, 
                selon l’Organisation météorologique mondiale 
                (OMM). Le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Évolution 
                du Climat (GIEC) estime que 3,3 à 3,6 milliards d’hommes, 
                de femmes et d’enfants vivent aujourd’hui dans des 
                contextes très vulnérables aux changements climatiques. 
                Et pourtant, ce sont celles et ceux qui contribuent le moins au 
                changement climatique qui en subissent les pires conséquences. 
                Souffrances climatiques, une exposition qui vous emmènera 
                au cœur de leurs quotidiens. 
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                Rijasolo 
                  x Emre Sari x Action contre la faim 
                Reportage 
                  à Madagascar 
                   
                  Action contre la faim est une ONG qui lutte contre la faim dans 
                  le monde depuis plus de 40 ans. Sa priorité est d’agir 
                  concrètement sur le terrain et de témoigner du 
                  sort des populations, en luttant contre les causes et les conséquences 
                  de la sous-nutrition, en France et à l’international. 
                  Parce que les causes de la faim sont multiples, elle agit de 
                  manière globale, durable et efficace, en s’appuyant 
                  sur une forte expertise en nutrition et santé, sécurité 
                  alimentaire, eau et assainissement, et santé mentale. 
                  Action contre la Faim s'associe pour la deuxième année 
                  consécutive à la biennale Photoclimat, afin de 
                  créer un carnet de voyage photographique et journalistique, 
                  réalisé à quatre mains, par l'artiste Rijasolo 
                  et le journaliste Emre Sari. Le photographe a pour mission de 
                  mettre en lumière les différents niveaux d'action 
                  de l'ONG, de l'urgence à la résilience, en passant 
                  par les missions d'accompagnement sur le long terme. Les récits 
                  d'Emre Sari accompagnent les photographies réalisées. 
                  Les prises de vue sont réalisées à Madagascar, 
                  pays dont la population est très vulnérable aux 
                  conséquences du dérèglement climatique. 
                  Le but est avant tout de révéler la condition 
                  des habitants surplace, face aux urgences sociales et environnementales. 
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                © 
                Rijasolo pour Action Contre la Faim 
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                        ..... 
                        ...... .Biennale 
                        Photoclimat : Un 
                        parcours d'expositions en plein air 
                        ................. 
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                        ..... 
                          . Du 14 septembre au 15 
                          octobre 2023, selon 3 axes :  
                       
                      
                        -  
                          
Un 
                            parcours central 
                            : Palais-Royal, église Saint-Merri, Tour 
                            Saint-Jacques, Académie du climat, quais 
                            de Seine, place 
                            de la Bastille, galerie La Hune Saint-Germain, place 
                            Saint-Sulpice 
                         
                        -  
                          
Un 
                            parcours Île-de-France : en Val-de-Marne 
                            : au 
                            château 
                            d'Ormesson, au centre horticole de Mandres-les-Roses, 
                            à la piscine Marcel Dumesnil, à Bonneuil-sur-Marne, 
                            à 
                            la piscine de Sucy-en-Brie, 
                            Maisons des Arts et de la Culture et au parc Dupeyroux, 
                            à Créteil ; au 
                            Domaine national de Saint-Cloud (92) ; à la 
                            Villa Hector Berlioz, la Villa Mozart et Place du 
                            Marché, à Épinay-sous-Sénart 
                            (91). 
                         
                        -  
                          
                        
 
                       
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                        La 
                          Biennale Photoclimat s’inscrit également 
                          dans une économie circulaire forte. Les scénographies 
                          uniques et éco conçues sont fabriquées 
                          de manière modulable et mobile, permettant ainsi 
                          la circulation des projets artistiques dans la France 
                          entière, une fois la Biennale terminée. 
                        photoclimat.com 
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