Connecter les Alto-Séquanais à la Nature

(1) Le territoire des Hauts-de-Seine

Présentation
Géographie - Climat - Trame bleue - Trame verte
Biodiversité - Urbanisme



Dessiné par les vallées de la Seine et de la Bièvre, le département des Hauts-de-Seine offre à ses habitants une variété de paysages, portés par un relief de plateaux, de coteaux et de plaines. Un tiers de son territoire est ainsi végétalisé et la moitié de ces espaces de nature présente un intérêt patrimonial pour leur qualité paysagère, écologique, culturelle et sociale. La composante naturelle, remarquable pour un territoire aussi dense en population, est essentielle au bien-être des Alto-Séquanais. Elle participe également à l’attractivité de ce territoire de contrastes, où se concentrent des quartiers denses, parfois hyper-urbains, comme celui de la Défense, et des lieux de nature, de forêts et de campagnes, comme la Vallée-aux-Loups. La géographie alto-séquanaise, en forme de croissant à l’ouest de Paris, en fait un territoire de transition, où l’intensité urbaine de la capitale commence déjà à se diluer ici et là, dans des espaces plus verdoyants, aux ambiances forestières,
champêtres ou fluviales annonçant les grands paysages qui s’étendent vers les Yvelines, l’Essonne et le Val d’Oise.

Présentation

La Seine et ses berges, les forêts domaniales de Meudon, Verrières, Malmaison et Fausses-Reposes, le domaine national de Saint-Cloud, les domaines départementaux de Sceaux et de la Vallée-aux-Loups et de nombreux autres parcs, jardins et promenades, constituent la trame éco-paysagère riche et diversifiée des Hauts-de-Seine. Le Département y entretient 27 sites classés Espaces Naturels Sensibles (ENS), qui représentent une surface totale de plus de 620 hectares. Cette trame s’accompagne de 414 km d’itinéraires de promenade et de randonnée inscrits au plan départemental. À cela, s’ajoute plus de 300 km de routes départementales bordées par 30 000 arbres d’alignements. Ce patrimoine arboré agrémente ainsi le cadre de vie des habitants et les itinéraires des passants - piétons, cyclistes ou automobilistes - qui empruntent quotidiennement ces grands boulevards.

Le département des Hauts-de-Seine est créé en 1968. Précisément, c’est la loi du 10 juillet 1964, organisant le redécoupage de la région Île-de-France, qui fixe de nouveaux périmètres départementaux et supprime ainsi deux départements historiques datant de la Révolution française : les départements de la Seine et de la Seine-et-Oise. A l’ouest de la capitale, 36 communes constitueront désormais un nouveau département, les Hauts-de-Seine, sur une surface de 176 km². Ce jeune territoire partage ainsi avec Paris, deux traits caractéristiques : ceux d’être les plus petits départements et les plus densément peuplés de France ; 1.6 million d’habitants pour les Hauts-de-Seine, soit plus de 9 100 habitants au km².


Parc des Chanteraines, © CD92/Olivier Ravoire

 

Géographie

Topographie de la vallée de la Seine

Le département offre une diversité géographique qui découle de la rencontre du plateau de la Beauce avec la vallée de la Seine. C’est de cette particularité morphologique qu’est née la dénomination Hauts-de-Seine.
Le département comprend trois grands domaines étagés :

  1. plateaux et buttes,
  2. coteaux et glacis,
  3. terrasses alluviales.
  • le plateau de Meudon, ayant des altitudes comprises entre 100 m - Clamart - et 175 m : Meudon ;
  • le plateau des Alluets, qui s’étend des Alluets-le-roi dans les Yvelines à
    Marnes-la-Coquette dans les Hauts-de-Seine, et dont l’altitude maximum se situe à 177 m : Les Haras de Jardy à Marnes-la-Coquette ;
  • le plateau de Vaucresson-Garches - 150-160 m -, qui s’étend sur les communes de Vaucresson, Garches et Rueil-Malmaison ;
  • le Mont Valérien, butte couronnée d’un Fort dominant la Seine - 162 m d’altitude -, et qui constitue le dernier éperon du plateau de la Beauce ;
  • les coteaux, situés en rive gauche de la Seine, sont le résultat de l’érosion du plateau de la Beauce par la Seine. Abrupts et relativement boisés d’Issy-les-Moulineaux à Saint-Cloud, les coteaux du Val de Seine sont plus atténués de Suresnes à Courbevoie ;
  • l’extrémité sud-est est traversée par la vallée de la Bièvre - 50 m - densément urbanisée du nord d’Antony jusqu’à sa confluence avec la Seine, à Paris. Circulant le plus souvent en réseau souterrain, cette rivière n’est pratiquement plus visible dans le paysage ;
  • la plaine alluviale environnant la Seine constitue l’essentiel du tiers nord du département - Plaine de Gennevilliers, de Nanterre, des Closeaux, de Villiers - jusqu’à la boucle de Boulogne : Plaine de Boulogne-Billancourt. L’altitude ne dépasse pas 30 m.

La carte exprime les grandes morphologies du département : la plaine de Seine et ses méandres au nord, la vallée de la Bièvre et ses versants au sud, le plateau entaillé au centre.

Topographie des Hauts-de-Seine

 

Une géologie de transition

Malgré la modestie de sa superficie, le département des Hauts-de-Seine comporte un grand nombre de couches géologiques à l’affleurement, 18 au total, couvrant une période très importante, allant de la fin de l’ère secondaire à l’ère quaternaire.

La carte met en évidence les trois domaines morphologiques : l’avancée du plateau du Hurepoix reposant sur les sables de Fontainebleau ; les plaines alluviales à l’intérieur des méandres ; entre les deux, les coteaux ou les glacis recoupent les autres formations sédimentaires. Le méandre de Boulogne réunit les conditions favorables à l’élaboration des coteaux les plus vifs, trait original du département.

Principales formations géologiques

Climat

Tout comme Paris et la petite couronne, le département est situé dans une zone soumise à des influences à la fois océaniques et continentales. On parle de climat océanique dégradé :

  • la température moyenne annuelle est de 11,1°C (moyenne nationale 13,7°C).
  • l’ensoleillement y est de 1 700 heures/an (moyenne nationale 1850 heures/an).
  • les précipitations fréquentes sont généralement faibles, de l’ordre de 600 mm/an (moyenne nationale 750 mm/an). En période chaude, des orages peuvent toutefois s’avérer violents car les vastes plaines céréalières de la région environnante favorisent les conflits de masses d’air. On compte 18 jours par an d’orage sur l’agglomération parisienne, essentiellement l’été.

La densité urbaine et l’utilisation de modes de transports émetteurs de chaleur sont deux éléments clés dans la formation des îlots de chaleur urbains. L’îlot de chaleur produit par l’agglomération se traduit par une différence de température entre le centre de Paris et les Hauts-de-Seine, qui peut atteindre presque 2°C.
Les phénomènes de changements climatiques tendent à augmenter les températures, accentuer les périodes de sécheresses et les pluies de fortes intensités. Les collectivités territoriales intègrent de façon croissante ces changements.
Ainsi les orientations d’aménagement et les modes de gestion des espaces évoluent : essences rustiques privilégiées dans les palettes végétales, maintien de surfaces en pleine terre, noues et bassins pour la gestion de l’eau à la parcelle.

 


Trame bleue

La Seine est l’élément majeur de la trame bleue des Hauts-de-Seine, identifiée au Schéma Régional de Cohérence Écologique avec les milieux humides - étangs de fonds de vallons, cours d’eau - comme devant être préservée et restaurée. L’ensemble représente 3 % du territoire.
Sur le territoire, la Seine constitue un espace naturel d’envergure de près de 450 hectares et joue un rôle de corridor écologique pour de nombreuses espèces animales et végétales, liées ou non au milieu aquatique. Le fleuve traverse le département d’est en ouest, sur 39 kilomètres, traçant un large méandre. Ses 66 kilomètres de berges marquent fortement le paysage et les îles participent au charme du fleuve.
De larges plaines alluviales environnent le fleuve. Les plaines de Boulogne-Billancourt, de Villiers - de Neuilly-sur-Seine à Clichy -, de Gennevilliers, de Nanterre et des Closeaux à Rueil-Malmaison, sont longtemps restées submersibles et dévolues aux caprices du fleuve.

Plusieurs petits affluents échancrent les plateaux du centre du département et s’écoulent vers la Seine, en formant de nombreux vallons. Bien peu de ces petites rivières sont encore à ciel ouvert. Recouvertes par l’urbanisation, elles sont peu perceptibles ; on les devine encore à Marnes-la-Coquette, Ville d’Avray, Meudon, Rueil-Malmaison ou Châtenay-Malabry. Seule la Bièvre et un affluent, le ru des Godets, offrent encore des espaces naturels d’importance dans le sud du département.

Bien que l’urbanisation a réduit les emprises sauvages en bordure de la Seine, celles-ci n’ont jamais complètement disparu. Les berges non endiguées existent encore sur toute la partie aval du fleuve, de Colombes à Rueil-Malmaison, ainsi que dans des endroits parfois insoupçonnés comme les petits bras de l’île Puteaux, de l’île Saint-Germain et de l’île de la Jatte. Ces berges abritent parfois des espèces intéressantes telle la Cardamine impatiente (Cardamine impatiens L.), espèce protégée au niveau régional, qui se développe sur des sols riches en nitrates, le long des cours d’eau dans les bois clairs et frais.


Ruisseau aménagé du parc nautique de l’Île de Monsieur à Sèvres © CD92/Olivier Bouviala
La Seine depuis Clichy © CD92/Olivier Ravoire

 


L’importance des berges naturelles

Les berges naturelles et leur végétation assurent plusieurs fonctions essentielles :

  • elles stabilisent les talus par la structure des parties souterraines des plantes ;
  • elles constituent autant d’habitats pour un grand nombre d’espèces animales terrestres et aquatiques : poissons, batraciens, insectes, oiseaux… ;
  • elles contribuent à la régulation des crues par dissipation de l’énergie du courant ;
  • elles jouent un rôle de filtre naturel vis-à-vis de la pollution présente dans l’eau : matières en suspension, fixation des nitrates, des phosphates ;
  • elles préservent les échanges entre l’eau libre du fleuve et sa nappe phréatique.
 


Trame verte

Les espaces ouverts végétalisés sur le territoire représentent environ 48 km² sur un total de 176 km². Ils représentent ainsi 27 % du territoire et offrent en moyenne 30 m² de nature pour chaque habitant.

Les espaces boisés, représentent 11 % du territoire. On y compte 1 700 ha de forêt dont 1 500 ha de forêts domaniales gérées par l’ONF : forêt domaniale de Meudon, de Fausses Reposes, de La Malmaison et de Verrières. Il existe aussi des boisements plus intégrés au tissu urbain. Les ENS totalisent ainsi près de 170 ha de boisements. Le Département gère également un patrimoine de 30 000 arbres d’alignement sur les routes départementales.

Les autres espaces ouverts - parcs, jardins, terrains de sport, cimetières… - constituent également une richesse en terme de patrimoine vert, très appréciée par les Alto-Séquanais. D’une superficie de 3 063 hectares en 2017, ces espaces urbains ouverts représentent 17,4 % du territoire. La biodiversité des Hauts-de-Seine est la résultante des innombrables frictions entre les parties vivantes et non vivantes de ce territoire.

Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups
© CD92/Olivier Ravoire


 


Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique



Biodiversité

Elle doit être appréhendée dans son état actuel, mais surtout dans sa dynamique et les scénarios possibles d’évolution.
Car il s’agit là d’un patrimoine commun national, qu’il convient d’entretenir et de
transmettre aux générations futures. Il ne s’agit pas d’une simple collection d’espèces, de paysages, de réservoirs et de corridors. Il s’agit d’un patrimoine vivant, propre à délivrer les nombreux services écosystémiques qui garantissent le maintien et le développement de nos sociétés.
Ni victime, ni protégée, la Nature doit devenir un véritable partenaire de l’aménagement de notre territoire. C’est l’heure de l’écologie de la reconnexion et de la réconciliation.
Le Schéma Régional de Cohérence Écologique identifie les principaux réservoirs de biodiversité à l’échelle de l’Île-de-France et leurs corridors. Les Hauts-de-Seine sont riches en réservoirs forestiers, fluviatiles et humides dans un contexte urbain dense. Le couloir de la Seine et l’ensemble forestier des domaines de Verrières, Meudon, Fausses-Reposes et Malmaison, sont assurément les deux éléments naturels majeurs de ce territoire, auxquels s’ajoutent des espaces de nature d’envergure : Domaine de Sceaux, parc de Saint-Cloud, Bois de Clamart, parc des Chanteraines.
Le territoire rassemble aujourd’hui 9 ZNIEFF représentant 4 676 ha d’espaces reconnus pour leur intérêt faunistique et floristique. Certains de ces ensembles dépassent les frontières départementales.

L’inventaire national du patrimoine naturel recense 76 espèces menacées au niveau national et 277 au niveau régional, dans les Hauts-de-Seine. Cette liste est consultable sur le site internet du Museum : inpn.mnhn.fr

 

Pic noir (Dryocopus martius), espèce protégée
par arrêté ministériel du 29 octobre 2009
© Alastair Rae

Triton alpestre (Ichthyosaura alpestris),
espèces protégée par arrêté du 19 novembre 2007 © Joxerra Aihartza
 

Hérisson d’Europe (Erinaceus europaeus), espèce protégée par arrêté ministériel du 23 avril 2007 © Jörg Hempel

Sterne pierregarin (Sterna hirundo), espèce
protégée par arrêté ministériel du 29 octobre 2009 © Dirk Ingo Franke
 


La Seine Musicale © CD92/Olivier Ravoire

Potager à La Défense © CD92/Olivier Ravoire


Urbanisme

Déjà considéré comme l’un des territoires les plus denses d’Europe, voire du monde, le cœur d’agglomération parisienne a accueilli une part croissante de la construction de l’Île-de-France ces trente dernières années, en parallèle du ralentissement des extensions urbaines en grande couronne.

Cette re-concentration du développement métropolitain est particulièrement marquée dans les Hauts-de-Seine, qui combinent une densité moyenne et un taux de construction encore plus élevés que les autres départements de petite couronne.

Cette moyenne départementale cache toutefois d’importantes différences entre les communes alto-séquanaises. De longue date, la densité humaine suit une logique de gradient : très élevée à proximité de Paris et le long de quelques grands axes radiaux, elle décline graduellement vers l’ouest. Ainsi la densité à Levallois-Perret est près de 20 fois plus élevée qu’à Marnes-la-Coquette.

Sur la période récente, ces contrastes ont eu tendance à se renforcer. D’un côté, la croissance de la population et des emplois a été majoritairement accueillie au sein des communes déjà les plus denses, dont certaines s’approchent des densités humaines de Paris intra muros. De l’autre, de nombreuses communes alto-séquanaises ont connu des évolutions plus modestes, voire ont vu leur densité baisser légèrement sur les trente dernières années, tandis que les importantes zones pavillonnaires du département ont été relativement épargnées par l’urbanisation. Ces évolutions renouvellent les questionnements sur les liens entre urbanisation et renaturation en ville dense.

Dans les Hauts-de-Seine, encore plus que dans le reste du cœur d’agglomération, l’urbanisation est adoucie par la présence d’espaces boisés et verts, dont certains sont l’héritage de grands domaines aristocratiques mais d’autres reflètent la mobilisation des collectivités territoriales pour verdir le département. Cet effort de renaturation est particulièrement marqué sur la période récente : 37 % des apparitions d’espaces verts en Île-de-France entre 2008 et 2017 sont ainsi situés dans les Hauts-de-Seine.

Cette augmentation témoigne notamment de la meilleure intégration des espaces naturels et ouverts au sein des projets urbains – à la fois les grands projets d’aménagement, de type écoquartiers, mais aussi dans de nombreuses opérations de moindre taille.
De ce fait, les communes qui ont le plus construit sur la période récente sont globalement celles qui ont aussi créé la plus grande quantité d’espaces ouverts sur la période récente. Si urbanisation et verdissement sont ainsi loin d’être antinomiques, plusieurs défis et points de vigilance demeurent. Dans de nombreux secteurs densément construits, les habitants continuent à manquer d’espaces ouverts en quantité, qualité et accessibilité suffisantes, avec d’ailleurs des inégalités d’accès mises en évidence par les confinements liés à la Covid-19.
Par ailleurs, de nombreuses opérations immobilières restent moins vertueuses pour la place faite à la végétation et aux solutions naturelles, dans un contexte de raréfaction et de renchérissement des terrains constructibles.
À noter que chaque année les nouvelles constructions occasionnent des dizaines d’abattages d’arbres le long des voies départementales.

À plus long terme, enfin, la comptabilité entre la poursuite, voire le renforcement, des efforts de construction menés ces dernières années et la nécessaire renaturation de la ville dense reste entière, tant la pression foncière atteint un niveau inédit dans le Grand Paris.

La principale réponse à ces défis reste l’intégration encore plus forte de l’écologie au sein des projets d’aménagement, de construction et d’infrastructures, depuis leur conception globale jusqu’au détail des opérations.

Car si les grandes opérations de renouvellement urbain encore à réaliser dans le département continueront à faciliter la création de parcs et espaces naturels de tailles importantes, la renaturation des Hauts-de-Seine se jouera de plus en plus à l’avenir sur une multiplicité d’interventions plus ciblées : végétalisation des bâtiments et de leurs abords, création d’espaces verts de petite taille au gré des opportunités foncières, valorisation des végétalisations spontanées des sites en friches, préservation des arbres d’alignement, présence généreuse de l’eau dans les projets, ou encore mobilisation de la verdure comme un écran naturel contre la chaleur, le bruit et la pollution.
Autant de pratiques qui nécessitent une coordination renforcée des différents acteurs du projet urbain : entre collectivités, promoteurs et habitants, mais aussi au sein d’équipes pluridisciplinaires d’urbanistes, architectes, paysagistes et écologues.

 
Densités humaines moyennes : Nombre
d'habitants et d'emplois par hectare urbanisé



Évolution de la densité humaine
dans l'Ouest francilien entre 1982 et 2017
Comparaison avec Paris

© Institut Paris Region organisme associé 2010

Apparition d’espaces verts urbains par
recyclage urbain entre 2008 et 2017 © IPR,2019


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Bois de la Béguiniére, site naturel de compensation, Châtenay-Malabry © CD92/Olivier Bouviala

 

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Connecter les Alto-Séquanais à la Nature
Stratégie départementale des espaces de nature
 


La
stratégie départementale des espaces de nature est l’outil de mise en œuvre de la Politique Nature du Département. Elle concentre ses compétences légales, moyens financiers et humains, sa technicité et son expérience pour atteindre l’objectif donné : mettre chaque habitant à moins de 15 minutes à pied d’un espace de nature et le connecter à la trame éco-paysagère des Hauts-de-Seine, soit plus de 3 300 hectares de parcs, jardins, promenades et forêts mis en réseau. La stratégie fédère les principaux dispositifs en cours, ayant pour
objet de créer, d’entretenir et de valoriser des espaces de nature accessibles au public. Elle reprend donc l’état des connaissances, des réalisations et des objectifs existants de ces dispositifs, tout en les actualisant et en créant un lien opérationnel entre eux.


Pôle Attractivité, Culture et Territoire
Direction des Parcs, des Paysages
et de l’Environnement



Service Études, Paysages, Patrimoine et Environnement

Chef de projet : Olivier Bouviala
Chargé de projet : Paul Robinot
Contributeurs : Anne Marchand, Aurélie Pichon, Laetitia Kerbouz, Thierry Martin, Matthew Wendeln, Clémentine Romeo (CAUE 92)
Cartographie : Lionel Silleau, Julien Lecaché, Guillaume Pernelle, Mathilde Richet (DDT-SIT)
Infographie : Céline Aubert (DDT-SIT)

hauts-de-seine.fr