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Biennale Photoclimat
Un parcours d'expositions photo en plein air

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(1) Place de la Concorde - Côté Seine :
Concordia : Arthur Mamou-Mani - Prince Gyasi - Fabeha Monir x Action contre Faim
Les Limbes : Sandrine Elberg x Médecins du Monde - Photographes x Solidarités International
Sanja Marusic x Entourage - Bertrand de Miollis x Fondation Afnic
Sacha Goldberger x Petits Frères des Pauvres

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Photoclimat est la première biennale environnementale et sociale gratuite et en plein air qui se tient pendant un mois au cœur de Paris et
en région parisienne. Elle a pour but de donner de la visibilité à des ONG et Fondations à travers l’art photographique, afin de rendre compte
de leurs actions au quotidien, de valoriser leur travail ainsi que celui des personnes qui s’engagent auprès d’elles. À travers un parcours d’expositions artistiques, événements et rencontres portés par des ONG, la biennale offre à tous les publics - grand public, jeune public,
acteurs et leaders del’écologie, entreprises, pouvoirs publics - une sensibilisation aux enjeux sociaux etenvironnementaux de notre temps.
L’art et la culture sont utilisés comme médiateurs dans cette manifestation unique, réunissant artistes et ONG autour de l’engagement
citoyen. Des parcours pédagogiques sont également mis en place pour toucher le jeune public, acteur du changement de demain.
Accessible à tous grâce à son format en extérieur, Photoclimat mixe œuvres contemporaines et photographies de reportage
dans d’immenses scénographies éco-conçues, qui intègrent le principe de l’économie circulaire et du recyclage.

Célébrons le vivant au coeur de Paris :

Photoclimat revient à Paris avec une œuvre hors du commun

 

Place de la Concorde - Côté Seine

Concordia : Arthur Mamou-Mani - Prince Gyasi
Fabeha Monir x Action contre Faim

En plein cœur de la capitale, sur la place de la Concorde - exceptionnellement piétonnisée cet été -, une installation monumentale imaginée par l’architecte Arthur Mamou-Mani verra le jour. Connu pour ses constructions futuristes et collectives, notamment le temple du Burning Man et la Tour de Bali, il signe cette année un espace de rencontre, de dialogue, de contemplation. Un lieu pour se rassembler et penser l’avenir.

Cette œuvre incarne l’esprit de Photoclimat : une biennale engagée, gratuite et en plein air, qui fait dialoguer art et engagement citoyen, à travers des expositions photo sur les grands enjeux sociaux et environnementaux de notre temps.

Arthur Mamou-Mani

Arthur Mamou-Mani est un architecte et designer français, installé à Londres, reconnu pour son approche mêlant fabrication numérique et architecture durable. Diplômé de l’Architectural Association, il fonde en 2011 Mamou-Mani Architects, une agence innovante qui utilise l’impression 3D, la conception paramétrique et des matériaux écologiques pour imaginer des structures modulables et responsables. Parmi ses réalisations emblématiques figure Galaxia, le temple principal du festival Burning Man en 2018, une spirale monumentale en bois symbolisant la connexion entre les individus et l’univers. Il a également fondé FabPub, un atelier de fabrication numérique ouvert au public, et enseigne à l’AA School, partageant sa vision d’une architecture collaborative et tournée vers l’innovation.

 


© ARTHUR MAMOU-MAN

© ARTHUR MAMOU-MAN

 
 

Prince Gyasi

 


© PRINCE GYASI & MAAT GALLERY

© PRINCE GYASI & MAAT GALLERY

Prince Gyasi - né en 1995 à Accra, Ghana - est un artiste visuel autodidacte qui a réalisé ses premières photographies avec un smartphone à l’âge de 16 ans. Son travail est à la fois profondément personnel et engagé auprès de sa communauté, proposant une contre-narration aux représentations occidentales de l’Afrique, et mettant en lumière l’élégance, la résilience et l’énergie de sa génération. Il bouscule les codes classiques de la photographie, invitant le public dans son univers saturé de couleurs, influencé par sa propre expérience de la synesthésie - un phénomène neurologique qui le fait associer des couleurs aux mots. De loin, ses photographies vibrantes évoquent des peintures, une façon pour lui de rejeter la hiérarchie implicite entre photographie et arts plastiques. En 2023, il a été le premier photographe noir à être choisi pour réaliser le prestigieux calendrier Pirelli, et a été désigné comme faisant partie des Next Generation Leaders par le Time Magazine. Prince vit et travaille actuellement à Accra.

Fabeha Monir x Action contre Faim [résidence artistique]


© FABEHA MONIR POUR ACTION CONTRE LA FAIM


© FABEHA MONIR POUR ACTION CONTRE LA FAIM

Fabeha Monir est une journaliste visuelle basée au Bangladesh, spécialisée dans les questions sociales, environnementales et de droits humains. Collaboratrice régulière du New York Times, de Bloomberg News, du WallStreet Journal et du Washington Post, elle allie une approche documentaire rigoureuse à une sensibilité artistique marquée. Son film Le Goût du Miel, qui explore les conditions de vie des apiculteurs bangladais, a reçu le prix du meilleur documentaire au Festival du film de Terni, en Italie. Boursière Shifting Democracy du Global Press Journal, elle s’attache à raconter les réalités marginalisées avec respect, force et dignité.

Action contre la Faim

Action contre la Faim est une ONG qui lutte contre la faim dans le monde depuis plus de 40 ans. Elle mène une réponse coordonnée dans près de 50 pays. Sa priorité est d’agir concrètement sur le terrain et de témoigner du sort des populations, en luttant contre les causes et les conséquences de la sous-nutrition en France et à l’international. Parce que les causes de la faim sont multiples, elle agit de manière globale, durable et efficace, en s’appuyant sur une forte expertise en nutrition et santé, sécurité alimentaire, eau et assainissement, et santé mentale. Action contre la Faim s’associe, pour la 3ème édition consécutive, à la Biennale Photoclimat, en présentant une série de photographies réalisée par la photo-journaliste Bangladeshi Fabeha Monir. Elle a documenté les impacts du changement climatique sur les populations au Bangladesh, pays fortement exposé depuis toujours aux phénomènes météorologiques extrêmes qui affectent la santé des habitants, leur accès à l’eau, les pratiques agricoles traditionnelles et les modes de subsistance. Des études montrent que la fréquence et l’intensité de ces évènements sont, sans équivoque, liées au changement climatique. Alors que les régions à l’est du pays souffrent d’inondations massives, en particulier pendant la saison des pluies, les zones côtières le long du golfe du Bengale subissent des cyclones et des raz-de-marée dévastateurs, qui exposent les populations à des risques élevés. Chaque jour, les communautés locales font face à cette menace latente et risquent leur santé.

Les Limbes : – Sandrine Elberg x Médecins du Monde - Photographes x Solidarités International - Sanja Marusic x Entourage
Bertrand de Miollis x Fondation Afnic - Sacha Goldberger x Petits Frères des Pauvres
 
  Sandrine Elberg x Médecins du Monde [résidence artistique]  

© SANDRINE ELBERG

© SANDRINE ELBERG

Sandrine Elberg (1978), photographe et plasticienne française, développe une œuvre singulière nourrie par un héritage scientifique et cosmopolite. Diplômée de l’École des Beaux-Arts de Paris (DNSAP, 2003), elle se consacre à la photographie argentique et expérimentale. Son travail, exposé dans plus de cent institutions - BNF, Grand Palais, Institut Français du Japon, Centre de la Photographie de Genève… -, interroge la mémoire, le cosmos et les paysages en mutation. Lauréate de nombreux prix - Dahinden, Arte, Canon, Fnac… -, elle est aussi finaliste de résidences prestigieuses : Villa Kujoyama, Fondation LesTreilles… Ses livres, comme M.O.O.N (2019) ou JÖKULL, la mémoire des glaciers (2020), salués à l’international, témoignent de son engagement artistique en faveur de la nature et du vivant, explorant les tensions entre science, imaginaire et écologie.

Médecins du Monde

Créée en 1980, Médecins du Monde est une association médicale militante de solidarité internationale qui lutte sans relâche pour défendre un système de santé juste et universel. Nous nous battons par les actes et par les droits, à travers nos plaidoyers et nos actions de terrain, en France et à l’international, dans une trentaine de pays. Car pour Médecins du Monde, défendre la santé ça n’est pas seulement soigner, c'est aussi écouter, accompagner, protéger, collaborer, défendre, former, plaider. C’est s’attaquer aux sources d’un problème pour en faire disparaître les symptômes. Notre approche est locale, collective et durable. Nous n’avons pas la prétention de pouvoir agir seuls, mais avec l’aide d’autres associations, et le concours des personnes à qui s’adressent nos programmes. Ainsi, nous nous engageons à soigner les populations les plus vulnérables, à témoigner des entraves constatées dans l’accès aux soins, à dénoncer le rejet, la discrimination, les atteintes à la dignité et aux droits humains, et à militer pour obtenir des améliorations durables des politiques de santé pour toutes et tous. Médecins du Monde a choisi, pour cette Biennale Photoclimat 2025, de mettre en avant son combat autour de la Santé Environnement. À travers des actions de terrain et de plaidoyer, nous dénonçons les facteurs environnementaux pouvant aggraver les inégalités sociales, géographiques et de genre déjà existantes. Nos projets sont axés sur les impacts des lieux de vie et des conditions de travail sur la santé physique et mentale des populations. Pour mettre en avant ce combat, nous avons choisi de collaborer avec l’artiste photographe Sandrine Elberg. À travers son univers plastique saisissant, dans un noir et blanc contrasté et profond, Sandrine saura mettre en lumière, avec élégance et délicatesse, nos actions et les valeurs que nous défendons.

 
Photographes x Solidarités International
Entourage
 

Depuis 45 ans, l’ONG humanitaire SOLIDARITÉS INTERNATIONAL vient en aide aux personnes frappées par les conflits et lesviolences, les épidémies, les catastrophes naturelles et climatiques, et les effondrements économiques. Nos équipes humanitaires ont pour mission de secourir celles et ceux dont la sécurité, la santé et la vie sont menacées, en couvrant leurs besoins essentiels : boire, manger et s’abriter. Survivre dans un pays en guerre est un travail unique qui met en lumière les destins singuliers des personnes qui, par choix ou absence de choix, vivent au plus près des conflits, aux quatre coins du monde.


© MICHAEL BUNEL / SOLIDARITÉS INTERNATIONAL

Pour régler un problème aussi ancien que la précarité, il faut le regarder de façon nouvelle. Notre point de départ : l'isolement est la plus grande des pauvretés.

Aujourd’hui en France, près de 11 millions de personnes sont en situation d’isolement relationnel. Pour les 5 millions qui sont en situation de précarité et les 330 000 personnes SDF, les chances de s’en sortir sont quasi nulles.
Pire encore, ces chiffres ne font qu’augmenter. La solution, c’est de retrouver du lien.

Depuis 2014, l'asso Entourage recrée du lien social entre les personnes en situation d'exclusion et le reste de la société, en encourageant chacun à s'engager et à agir localement. Elle mobilise les citoyens, en précarité matérielle ou non, à travers trois programmes : Entourage Local, grâce à une application mobile, pour recréer des liens avec les personnes isolées de son quartier ; Entourage Pro, pour encourager et faciliter l’inclusion professionnelle des plus exclus ; Entourage sport, pour permettre à toutes et tous de se remobiliser grâce au sport.

 
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Sanja Marusic x Entourage [résidence artistique]
   
Sanja Marušic (1991) est une artiste néerlando-croate basée à Amsterdam. Diplômée de la Royal Academy of Art (KABK) de La Haye, elle crée des images d’un autre monde mêlant photographie, peinture et collage. Ses œuvres dépeignent souvent des paysages surréels, peuplés de figures énigmatiques engagées dans des mouvements symboliques mis en scène. Puisant dans son expérience personnelle, elle transforme des instants en scènes oniriques et échappatoires. Influencée par l’art populaire et naïf, sa pratique valorise l’authenticité, les palettes de couleurs vibrantes et l’intuition. Au cours des dix dernières années, elle a réalisé plus de 15 séries, et exposé en Europe et aux États-Unis, notamment en solo au musée Van Gogh, au Mauritshuis, et au Dutch Photography Museum.

© SANJA MARUSIC

© SANJA MARUSIC

© SANJA MARUSIC
 
  Bertrand de Miollis x Fondation Afnic [résidence artistique]  


© BERTRAND DE MIOLIS

© BERTRAND DE MIOLIS

Formé à l’ENSAD (2002-2004), Bertrand de Miollis puise son inspiration dans ses explorations. À pied, à bord de voiliers, ou le plus souvent au guidon de sa moto, il part à la rencontre de ses sujets, personnes, scènes et paysages. Sur le Lac Baïkal, aux États-Unis, au Chili ou encore au Rwanda : des immersions différentes, mais un même regard ouvert qui interroge les liens entre les humains entre eux et avec leurs environnements. Artiste embedded auprès de soldats anglais et français en Irak (2003) et en Afghanistan (2010), il témoigne avec ses pinceaux de la difficile réalité de la guerre avec une grande humanité. Au cœur de l’Opéra National de Paris, c’est un voyage en profondeur qu’il réalise auprès des danseurs de la Compagnie : 1 an en résidence 2014. Les œuvres crées à l’issue de ces immersions trouvent un écho dans la Presse, l’Édition, la télévision et les galeries. D’abord connu pour ses carnets de voyages, avec entre autres l’écrivain Sylvain Tesson et le grand reporter Arnaud de la Grange, il s’exprime aujourd’hui à l’huile et grave le bois et le linoleum. Curieux des techniques, il explore également les outils digitaux comme de nouveaux vecteurs d’émotions.

La Fondation Afnic

La Fondation Afnic est une fondation d’entreprise créée en 2015 par l’Afnic - Association française pour le nommage Internet en coopération -, l'organisme qui gère notamment les noms de domaine en .fr. Elle a pour mission de soutenir le développement d’un Internet solidaire et inclusif en France. La Fondation agit en finançant des projets qui utilisent Internet comme levier d'insertion sociale, de cohésion territoriale et d'égalité des chances.

Ses axes d'intervention principaux sont :

Chaque année, la Fondation Afnic lance des appels à projets et accompagne associations, collectivités et structures d’intérêt général dans leurs initiatives, en mettant l’accent sur l’impact social réel. Guidée par la conviction que l’accès au numérique est un facteur essentiel de développement humain et d’égalité, la Fondation s'inscrit dans une démarche durable pour réduire la fracture numérique en France.

  • Favoriser l’inclusion numérique des publics éloignés d’Internet : personnes âgées, en situation de précarité, en milieu rural...
  • Encourager des usages citoyens et responsables du numérique.
  • Soutenir les innovations numériques au service de l'intérêt général
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Sacha Goldberger x Petits Frères des Pauvres [résidence artistique]
Entre virtuel et réalité : Dans un monde où tout est de plus en plus virtuel, où la technologie occupe une place accrue dans nos quotidiens, où l’intelligence artificielle percute notre rapport au monde et aux autres, cette série est un questionnement sur la place des liens humains dans notre société. Le virtuel remplacera-t-il le réel dans un futur très proche ? L’Humain n’est-il pas essentiel à notre bonne santé mentale ? C’est ce que j’ai tenté de révéler avec cette série. Nous avons photographié chez elles des personnes âgées isolées bénéficiant de l’aide de l’association Petits Frères des Pauvres. Lors de cette prise de vue, nous leur avons demandé de nous raconter leur monde imaginaire, les personnages qui peuplent leur solitude et avec qui elles auraient aimé pouvoir échanger. Nous avons utilisé leurs mots pour recréer, en promptant via l’intelligence artificielle, ces figures imaginaires que les spectateurs pourront découvrir en réalité augmentée sur leur smartphone, flottant entre fiction et réalité. Si la série exploite les capacités de l’intelligence artificielle, elle dénonce également la négation du lien qui est à l’œuvre, et met en lumière la nécessité vitale des rapports humains à l’ère du numérique, pour lutter contre l’isolement menant à la mort sociale. Sacha Goldberger

Sacha Goldberger, photographe des grands projets, conjugue depuis plus de 20 ans patrimoine, modernité et pop culture avec un sens aigu de l’esthétisme, une bonne dose d’humour, et une impertinence assumée.

Révélé par la série Mamika, hommage décalé à sa grand-mère devenue icône, il enchaîne les créations ambitieuses : Super Flemish, Les Compagnons Renaissance, Secret Eden, Alien Love, Hitchcock as a feminist ou encore Portraits Croisés. Inspiré par l’histoire de l’art et le cinéma, il orchestre des mises en scène dignes de superproductions, véritables fresques mobilisant jusqu’à 150 talents autour de décors historiques ou futuristes.

En 2024, il fonde Studio Goldberger, atelier de création sur-mesure dédié aux marques et institutions, où il orchestre avec une équipe fidèle des projets artistiques clés en main, de la conception à l’exposition. Goldberger navigue entre histoire de l’art et cinéma, avec humour, esthétisme et une pointe d’impertinence. Photographe prolifique, ambassadeur Leica et lauréat du prix 1 immeuble, 1 oeuvre, il collabore avec les plus grands et expose à l’international, tout en restant fidèle à une photographie engagée, humaine et narrative. Il travaille actuellement sur une série inédite réalisée pour les Petits Frères des Pauvres, poursuivant son engagement pour la visibilité des invisibles, et la célébration de la dignité humaine.

© SACHA GOLDBERGER

Petits frères des Pauvres

Dans le cadre du festival Photoclimat, l’association Petits frères des Pauvres a interrogé le Studio Goldberger pour la conception et la réalisation de 12 images, afin d’évoquer le problème de la solitude chez les personnes âgées et les personnes âgées en situation de précarité. Dans un monde où le virtuel prend de plus en plus de place, où les algorithmes façonnent nos réalités et où l’intelligence artificielle redéfinit nos imaginaires, des questions essentielles se posent : Jusqu’où peut aller la substitution du réel ? Peut-on remplacer les relations humaines ? Ce projet, conçu spécialement pour Petits frères des Pauvres dans le cadre du festival Photoclimat, explore cette réflexion à travers une série de 12 photographies. 12 photographies grand format, d’hommes et de femmes en situation de solitude, dans leur quotidien - salon, cuisine, banc public… - seront exposées dans Paris. Ces images, visibles à l’œil nu, révèlent la solitude de l’être humain dans le monde réel. En regardant ensuite ces images à travers leur smartphone, les spectateurs pourront découvrir, par le biais de la réalité augmentée, des univers entièrement conçus par l’Intelligence Artificielle. Tout commence par les mots, ceux des personnes interviewés qui nous parlent de ceux qui peuplent leur solitude. L’IA va nous permettre de créer des univers alternatifs, des présences fictives, des mondes illusoires qui viennent enrichir ces scènes. Ces ajouts numériques seront visibles uniquement via la caméra d’un smartphone. En déplaçant le smartphone, les spectateurs pourront observer différentes parties de l’image. Sur les lieux de l’exposition, un texte viendra accompagner les images. Ce texte écrit par les équipes du Studio Goldberger mettra en avant l’importance des échanges réels par rapport au virtuel. Il expliquera également en quoi les Petits frères des Pauvres ont besoin d’aide et de bénévoles, afin de soutenir nos aînés qui souffrent de solitude. Lorsque les spectateurs passeront leur smartphone sur le texte, apparaitra un texte complètement farfelu, généré par l’IA, à propos des bénéfices de l’amitié virtuelle…

 
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Biennale Photoclimat Un parcours d'expositions photo en plein air
Nicolas Henry et l’association Letourdunmonde lancent la troisième édition de la Biennale Photoclimat, du 12 septembre au 12 octobre 2025.
  • Il s’agit de valoriser la mission et les plaidoyers des associations d’intérêt général et des fondations afin de bousculer/créer des prises de conscience pour encourager les dons, le bénévolat et le recrutement des talents.
  • Encourager les artistes à s’engager et ainsi élargir le champ de représentation des causes portées.
 

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L’association Letourdunmonde

L’association a pour but d’élaborer, produire et présenter des projets artistiques engagés. Elle créée des liens entre l’art, la sphère associative, et les experts, en questionnant les grands enjeux sociétaux à travers la création. Elle mène des actions en direction du grand public, en décentralisant l’art des espaces culturels traditionnels, le rendant ainsi accessible à tou.s.tes.
La Biennale Photoclimat s’inscrit également dans une économie circulaire forte. Les scénographies uniques et éco-conçues sont fabriquées de manière modulable et mobile, permettant ainsi la circulation des projets artistiques dans la France entière, une fois la Biennale terminée.
photoclimat.com